Certains artistes proposent de nouvelles conceptions du sublime et puisent pour ce faire dans des sources telles que le sol, la terre et le plancher, d’autres redéfinissent le concept de « sol » à l’aide de règles picturales. D’autres encore explorent les caractéristiques de la peinture par le biais de disciplines apparentées comme la gravure et la photographie.

La peinture occupe une place prépondérante dans les pratiques respectives de tous les artistes participant·es qui la considèrent comme un refus productif, un moyen d’afficher des perspectives non conventionnelles, mais surtout comme un langage partagé qui permet de raconter des histoires. Ces histoires sont le ferment de dialogues qui englobent à la fois l’universel et l’individuel, le symbolique et la réalité concrète.

L’exposition fait également référence aux fondements historiques du musée Dhondt-Dhaenens. Une sélection d’œuvres modernistes de la collection et d’œuvres installées à long terme dans et autour du musée offre de nouveaux points de vue sur des thèmes récurrents dans l’histoire de l’art.

Artistes

Ellen Altfest, Kasper Bosmans, Vija Celmins, Edith Dekyndt, Laurent Dupont, Bracha L. Ettinger, Isa Genzken, Gabriel Hartley, Derek Jarman, Behrang Karimi, Stanislava Kovalcikova, Jannis Marwitz, Delcy Morelos, Dala Nasser, Loïc Raguénès, Shervin/e Sheikh Rezaei en coll. avec Maxime Prananto, Lin May Saeed, Selma Selman, Vivian Suter, Kazuna Taguchi, Daniel Turner, Michael Van den Abeele

De la collection du Musée Dhondt-Dhaenens

Anne Bonnet, Charles-René Callewaert, Hippolyte Daeye, Lili Dujourie, Esteban Fekete, Isa Genzken, Bernd Lohaus, Constant Permeke, Anna Staritsky, Niele Toroni, Edgar Tytgat

De la collection de la Fondation Andries-Vanlouwe

René Magritte, Gerhard Richter, Mitja Tušek

commissaire

Martin Germann